mardi 7 juin 2016

Le Mardi sur son 31 #13




Coucou!


Je vous retrouve aujourd'hui pour un nouveau Mardi sur son 31. :-)

L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire.




Ma lecture en cours :





Après la mort inexplicable de son petit garçon, tué par une force invisible avant de sombrer dans le lac qui bordait leur maison, John Henderson a quitté la ville de Black Ridge. Trois ans plus tard, un appel téléphonique, pris tout d'abord pour une sinistre plaisanterie, le fait revenir sur les lieux de la tragédie. Cherchant des réponses au mystère qui a anéanti sa vie, John s'enfonce dans la petite bourgade malfaisante. Les vents venus de la forêt lui glacent le sang, les maléfices du lieu opèrent à nouveau...







Et à la page 31, on peut lire : "Il s'est enfin mis à pleuvoir. Une pluie irrévocable, battante, qui m'a trempé si vite qu'il n'y avait plus aucune urgence à rentrer. Alors je me suis attardé, pour regarder les gouttes rebondir sur les flots et piqueter le sable. Ce n'est qu'au terme de ma seconde bière que j'ai levé le camp.
Une chose était certaine : ce vendredi soir ne resterait pas dans les annales de la bringue."















2 commentaires:

  1. La photo complète très bien la citation!
    Et la prochaine fois que je m'ennuierai comme un rat mort un vendredi soir, j'utiliserai l'expression "ce vendredi ne restera pas dans les annales de la bringue"... :P

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    1. J'ai essayé de trouver une photo en rapport avec l'histoire et l'ambiance du livre puisque le petit garçon qui meurt au tout début était sur un ponton comme celu-ci, et c'est une force mystérieuse qui l'a tué.

      Moi aussi j'ai trouvé cette phrase marrante, c'est pour ça que j'ai choisi ce passage. ;-)
      Merci pour ton commentaire !

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