mardi 26 juillet 2016

Le Mardi sur son 31 #18




Bonjour !


J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31. :-)

L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.


Ma lecture en cours :



J'avais acquis une certaine renommée et gagné un surnom dont on usait parfois : « Krieghund. » On me disait né pour la guerre...
1631 ; l'Allemagne est à feu et à sang. Au lendemain du sac de Magdebourg, le Graf Ulrich von Bek, capitaine de mercenaires, abandonne ses hommes pour se réfugier dans la forêt de Thuringe. C'est là qu'un pacte va sceller le destin du « Chien de guerre », un pacte diabolique puisque Lucifer en est l'artisan. Pour le salut de celle qu'il aime et celui d'un monde que déchire la folie sanguinaire. Un pacte qui traversera les siècles et les générations...
1794 ; le Ritter Manfred von Bek, ex-capitaine dans l'armée de Washington puis député de la Commune en France, fuyant la Terreur révolutionnaire, traverse l'Europe sur les traces de Libussa de Crète dont il est amoureux, jusqu'au Mirenbourg de la Mittelmarch, la Cité des étoiles d'automne où la Grande Conjonction des astres annonce une ère nouvelle aux alchimistes initiés.
Faites œuvre du diable : telle est désormais la devise des von Bek. Romans d'aventures picaresques, romans philosophiques et de fantasy, la saga VON BEK appartient à la veine la plus brillante de Michael Moorcock.




Et à la page 31, on peut lire : "J'ai offert mon bras à la demoiselle et l'ai accompagnée dans la cour, puis nous avons monté les marches pour entrer dans le château tandis que ses horribles serviteurs emmenaient le cheval et la voiture dans l'écurie. J'étais pris au piège de la curiosité."






Von Bek tenant le Saint-Graal et poursuivi par les légions de l'Enfer







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