mardi 6 juin 2017

Le Mardi sur son 31 #45




J'espère que vous allez bien et je vous remercie d'être au rendez-vous pour ce nouveau Mardi sur son 31


L'idée de ce rendez-vous hebdomadaire est de Sophie, du blog Les bavardages de Sophie et elle est très simple :  tous les mardis, vous ouvrez le livre que vous êtes en train de lire à la page 31 et vous choisissez une phrase. Elle peut être révélatrice du roman, vous plaire par son style, vous déplaire… Bref vous êtes libre! (explication empruntée à Sophie elle-même)

Pour ma part, je choisis en général un peu plus qu'une phrase - 2 ou 3, en général - car la plupart du temps, une seule phrase n'est pas suffisante pour être vraiment révélatrice du style ou de l'histoire, et surtout, ne veut pas dire grand-chose sortie de son contexte.

De plus, je voudrais rajouter que si je n'ai pas fini mon livre le mardi suivant (comme cela m'arrive souvent), j'ai décidé de faire quand même un Mardi sur son 31 mais en prenant un extrait de la page 131, puis de la page 231 si je ne l'ai toujours pas fini le troisième mardi, etc...

Donc...




Ma lecture en cours :



Il est puissant, mystérieux, hors-la-loi… et elle est son seul espoir.

Angleterre, VIIIe siècle
Alwynn est rongée par le doute. A-t-elle bien fait de sauver cet homme retrouvé sur la plage après la terrible tempête qui a sévi la veille ? Et de lui dénicher un abri dans le plus grand secret ? Si les autorités apprenaient qu’elle soigne un étranger, elle le paierait très cher ! Depuis que les hommes du Nord ont décimé la région, tous les rescapés venus de la mer doivent être exécutés. Mais Alwynn ne peut se résoudre à donner l’alerte. Valdar ne peut pas être l’une de ces brutes sanguinaires venues pour les tuer : au contraire, il a juré de protéger le foyer qui l’a recueilli. Mais, pour une jeune veuve comme elle, s’exposer à un homme aussi puissant, vraisemblablement un guerrier, est très risqué. Peut-elle lui faire confiance ?








Et à la page 31, on peut lire :



" Alwynn s'assit sur ses talons. De petits nuages blancs parcouraient le ciel, et une brise légère caressait son visage. Le guerrier était vivant et des soins urgents s'imposaient, mais pas ici. Pas en pleine vue.
  Merri et elle étaient seules pour le moment, mais d'autres ramasseurs d'épaves pouvaient arriver d'un moment à l'autre. Et ceux-là risquaient bien de suivre les ordres du lieutenant du roi.
  Un frisson glacé lui parcourut la colonne vertébrale. Il fallait faire vite."











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